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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 09:20

Nos écoles dans les années 60 à 80

Écoles Publiques

GROUPE SCOLAIRE MIXTE " JULES VERNE "

C.E.G – C.E.S

 

La scolarisation obligatoire en collège pour tous les enfants de 11 ans oblige à la mise en place en 1964 de 14 classes démontables dites " provisoires " et la transformation du (C.E.G) Collège Enseignement Général en (C.E.S) Collège Enseignement Secondaire. La direction de l’établissement restera assurée par Monsieur Jules Baron, ainsi que par Madame Yvonne Foys respectivement Directeur et Directeur-Adjoint du C.E.S.

En 1972, Monsieur Jules Baron partira en retraite, il sera remplacé par Monsieur Jean-Pierre Billante et en 1973, l’internat du collège sera supprimé par manque d’effectif (en 1972-1973 il n’accueillait que 43 élèves).

La loi de décentralisation de 1982 donnera à partir de 1985 la charge des collèges au département et quelques années plus tard, en 1989, commencera d’importants travaux  : rénovation du bâtiment principal, construction d’un nouveau bâtiment, suppression des 16 classes en préfabriqué, déménagement de la maternelle pour y installer cuisine et restaurant. C’est ainsi que la rentrée 1991 du collège " Jules Verne " place Delaporte, se fera dans de nouveaux locaux neufs et rénovés.

L’inauguration officielle aura lieu le 30 mai 1992 sous la présidence de Pierre Aguiton, Président du Conseil Général de la Manche, Michel Ganné, Conseiller Général, maire de Saint-Hilaire et Emile Boisivon, Principal du collège depuis 1991. Ce fut aussi l’occasion de se souvenir des anciens directeurs de l’établissement : Jules Baron qui fut le premier directeur en 1959, Jean-Pierre Billante (1972), Dru (1979) et Albert Noury, l’un des artisans de la rénovation du collège (1981).

Par la suite le collège Jules Verne sera dirigé par MM. Fortin en 1998 et Bernard Liot en 2001.

GROUPE SCOLAIRE PRIMAIRE LECROISEY

En 1972, les écoles primaires (12 classes et 1 cantine) seront transférées dans le nouveau groupe scolaire primaire Lecroisey, inauguré le 18 juin, par Monsieur Terrazzoni, sous-préfet, Maitre Paul Guinebault, Conseiller Général maire, Monsieur Lunel, inspecteur d’académie. Monsieur Gourdel et Mademoiselle Boudou en seront les premiers directeurs.

En 1976, plus de 400 élèves fréquentaient l’école primaire, ils seront répartis dans 16 classes dont 12 installées dans des constructions en dur et 4 dans des baraquements.

GROUPE SCOLAIRE PRIMAIRE BEAUSEJOUR

Devant l’accroissement de la population scolaire et en raison de la création de la Résidence Beauséjour, le conseil municipal dirigé par Paul Guinebault décide de construire le groupe scolaire Beauséjour avec deux classes maternelles et cinq classes élémentaires. La première rentrée a eu lieu en septembre 1976.

LYCEE CLAUDE LEHEC

" Un lycée pas comme les autres "

(et qui le demeure…)

Après la libération, la France est exsangue et la Manche ainsi que le Calvados sont des départements sinistrés en raison des combats de 1944. Un formidable désir de se relever s’instaure. Des gens dynamiques vont se dépenser sans compter pour mener une reconstruction non seulement matérielle, mais morale. Les moyens d’y parvenir sont modestes, mais l’absence de normes, de limites, de contraintes à respecter dans le travail et dans l’emploi de main d’œuvre, l’extraordinaire volonté de chacun de relever la tête, vont conduire à des réalisations inconcevables dans les conditions actuelles.

Du fait de son classement dans une région sinistrée, le Rectorat d’Académie cherche à y implanter des établissements d’enseignement technique pour former les jeunes dont l’industrie renaissante a besoin. Monsieur Castrec, Inspecteur de l’Enseignement Technique, émet en 1945 l’idée de la création d’un Centre d’Apprentissage à Saint-Hilaire. L’idée est bien accueillie par le Docteur Daniel Cuche, alors maire de la ville et Conseiller Général, mais quelle formation peut-on y dispenser ? Le nécessaire est néanmoins engagé pour sa réalisation. Des travaux de construction en matériaux " légers " sont entamés le 18 août 1947 sur un vaste terrain situé rue Dauphine, en bordure de l’Airon.

Le type de formation à dispenser ne prend corps que lorsqu’on y intéresse Monsieur Fernand Lehec, fils d’un modeste maréchal-ferrant, établi dès 1919 comme mécanicien agricole, et ayant fait prendre à son entreprise au cours des ans une extension spectaculaire. Fernand Lehec était un homme d’avenir, qui perçut très tôt la révolution qui allait s’opérer dans l’agriculture et dans sa mécanisation. Dès lors, avec l’aide de son fils Claude, agrégé de philosophie et professeur à la Sorbonne, il opère un véritable siège du Secrétariat à l’Enseignement Technique, témoignant ainsi de la pugnacité de son auteur, caractéristique jamais démentie 

Il faut, pour concrétiser et mettre sur les rails un tel projet, un homme d’expérience, énergique, autoritaire et motivé, un " laborieux " (dixit le Docteur Cuche). Il est trouvé en la personne de Monsieur Émile Amchin, (photo ci-contre) alors directeur du Cours Complémentaire de Saint-Hilaire.

C’est incontestablement grâce à la persévérance et l’opiniâtreté de ces trois personnes, aussi courageuses, entreprenantes et acharnées chacune dans son domaine, que le Centre Public d’Apprentissage (il changera maintes fois d’appellation au cours de son existence) est enfanté dans la douleur…

Lorsque Monsieur André Morice, Secrétaire d’État à l’Enseignement Technique, vient sur place le 8 juillet 1948 pour encourager à l’ouverture du Centre d’Apprentissage en Mécanique Agricole prévue pour le 8 octobre suivant, il ne peut constater que l’unique présence de soubassements destinés à recevoir des baraques en bois. Il est alors promptement décidé, bien que tous les marchés soient passés, de procéder à une construction en aggloméré. C’est l’entreprise Yver et Vercelli qui, à partir du 18 août seulement, intervient pour permettre l’ouverture à la date prévue.

En ces années, on constate une désaffection pour la vie rurale. Le moyen d’enrayer la désertion des campagnes, c’est de former les artisans qui leur sont indispensables : menuisiers, charrons, forgerons, maçons, etc… L’enseignement de ces différentes branches doit s’effectuer sans cloison, afin d’éviter les risques de chômage. Tous doivent être initiés à la mécanique. L’élaboration d’une législation concernant un Certificat d’Aptitude Professionnel du domaine de la Machine Agricole couronnant la scolarité de 3 ans est mise en chantier (octobre 1948).

Premier en France, le CPA de Mécanique Agricole ouvre le 8 octobre 1948. Il accueille 82 apprentis. A partir de ce jour, le premier directeur Monsieur E. Amchin, le chef des ateliers Monsieur Parmentier, et les moniteurs, rejoints en décembre par un économe de talent, Monsieur M. Chavanel, œuvrent avec leurs élèves pour résoudre les nombreux problèmes matériels et administratifs qui se posent. L’auto équipement est largement exploité. Maintes imperfections, voire des non-sens commis dans la précipitation, sont à corriger. Les démarches pour l’obtention d’un fonctionnement raisonnable  sont engagées et font l’objet d’une lutte permanente de la part de tous les intervenants. Commence alors pour les années qui suivent une invraisemblable succession de constructions, aménagements, destructions, modifications, adaptations, extensions, au gré des crédits débloqués, des nécessités dégagées par un effectif sans cesse croissant, des évolutions ou des exigences. Malgré des périodes difficiles et de nombreux découragements, tout le monde tient bon ! .

Si les élèves pratiquent la menuiserie, la serrurerie, le forgeage, la tonnellerie en concrétisant leur apprentissage par des réalisations certes intéressantes, il est nécessaire de leur donner l’enseignement de mécanique agricole tel qu’il est en train d’évoluer : la traction animale fait place à la force motrice ; il faut aborder le tracteur et les outils qu’il anime au détriment des véhicules hippomobiles, si perfectionnés soient-ils !… De même, un équipement en machines-outils devient indispensable. Les lieux (un ancien terrain marécageux), à force d’être foulés, imposent l’utilisation de bottes ou de sabots et nécessitent un assèchement. Les élèves doivent pouvoir disposer d’un terrain de sports, d’un foyer, d’une coopérative… Tout cela se met en place progressivement, et les efforts de persuasion déployés auprès des constructeurs et marchands-réparateurs de machines agricoles commencent peu à peu à donner leurs fruits : des machines typiquement agricoles sont entreposées dans le grand hangar prévu à cet effet.

Par souci d’économie mais aussi pour acquérir d’une certaine manière le sens des responsabilités, des apprentis élèvent des cochons avec les eaux grasses de la cuisine, et cultivent des pommes de terre et des légumes entre les bâtiments (peut-on dire " heureuse époque ? " …), toutes productions promises à l’économe.

C’est le 2 juillet 1952 qu’a lieu officiellement l’inauguration du " Centre Public d’Apprentissage de Mécanique Agricole de Saint-Hilaire-du-Harcouët " qualifié de pilote, par Monsieur Jean Masson, Secrétaire d’État à l’Enseignement Technique. C’est l’occasion de faire connaître mieux encore les caractéristiques et le dynamisme de ce Centre qualifié de " pas comme les autres  ".

En octobre 1952, Monsieur Beuter remplace Monsieur Amchin. Lui succède Monsieur André Manin à partir de janvier 1955, jusqu’en 1985 ; il frôle ainsi le record de longévité des Chefs d’établissement en poste, et participe donc activement durant trois décennies à l’évolution et au développement du " Centre ", comme il fut longtemps appelé par les Saint-Hilairiens. A Monsieur Chavanel succède en 1957 Monsieur Porte ; Monsieur Parmentier est remplacé la même année par Monsieur R. Piochon.

L’ascension du " Centre " se poursuit et les effectifs ainsi que la demande d’admission augmentent constamment, nécessitant de multiples extensions de locaux. 221 apprentis sont inscrits à la rentrée 1957. Le degré de technicité de l’enseignement progresse en permanence afin de s’aligner sur les nécessités de la profession qui prend une part de plus en plus active à la formation. Les qualifications délivrées suivent cette évolution (C.A.P. de mécanicien en machines agricoles, C.A.P. de motoriste-dieseliste, Mention Complémentaire motoculture et équipement rural).

Pour son dixième anniversaire, le " Centre " reçoit Monsieur Buisson, Directeur Général de l’Enseignement Technique. Monsieur Buisson déclare : " Le Centre de Saint-Hilaire est déjà dépassé, et, du niveau Collège, il doit passer à celui d’Ecole Nationale Professionnelle… "

Le 15 septembre 1960, le " Centre " devient " Collège d’Enseignement Technique ". A la rentrée suivante, une section de 2de de lycée technique (rattachée pour raison administrative au lycée technique du Mans) s’ouvre dans les locaux.

Événement à portée nationale le 24 octobre 1961 : un reportage portant sur le " lycée pas comme les autres " est diffusé sur l’unique chaîne télévisée du moment (8 millions de téléspectateurs estimés) à 19h10. Trente minutes sont consacrées au tout nouveau " Lycée Technique d’État du Machinisme Agricole " de Saint-Hilaire qui acquiert à partir de ce jour une renommée nationale.

Courant novembre 1961, devant 240 apprentis venus de 28 départements et, à nouveau de nombreuses personnalités, l’ouverture officielle du lycée auquel restent associées les sections existantes de C.E.T. est présidée par Monsieur Oeuvrard, sous-préfet. Au cours de son allocution, Monsieur Castrec, Inspecteur de l’Enseignement Technique qui suggéra le premier en 1945 l’ouverture du " centre " et qui en suivit de bout en bout l’évolution, déclare la prochaine implantation des bâtiments destinés à abriter 700 élèves du L.T.E. dont les ateliers doivent couvrir 6.000 m² (jusqu’alors 1200 m² ! ).

Former, en plus de la main-d'œuvre qualifiée à destination des entreprises de marchands-réparateurs de machines agricoles, les cadres techniques et technico-commerciaux (chefs d’atelier, contremaîtres, vendeurs, chefs de service après-vente et magasiniers-chefs). Les études sont sanctionnées par un Brevet de Technicien.

Un important projet de 5.900.000 NF doit être mis en application. Les nouvelles installations (reconstruction totale) seront implantées de part et d’autre de l’existant, afin de s’y substituer progressivement. L’effectif professoral est augmenté et des postes de spécialité créés (machines agricoles, motorisation, lettres, langues, etc …)

Le 7 décembre 1963, en présence des élèves, des personnels et de nombreuses personnalités, la première pierre de l’internat est posée par Monsieur Capelle, Directeur Général de l’Organisation Scolaire des Programmes au Ministère de l’E.N. Les travaux se poursuivent jusqu’en 1967, comme ceux qui établissent les programmes et le règlement du Brevet de Technicien " Négoce et Réparation de Matériels " qui ne disparaît qu’après la session 1994. En 1967, l’établissement compte 400 élèves et emploie environ 100 personnes. Le maximum est atteint dans le courant des années 70 avec 680 élèves et 170 personnes.

Une cohésion exceptionnelle s’instaure tant au niveau des enseignants que des élèves. Bon nombre de ces derniers, presque tous internes, ne rentrent chez eux qu’une fois par trimestre !… Cela crée une atmosphère de camaraderie et d’entraide mutuelle à laquelle participent beaucoup de professeurs.

Une remarquable stabilité de la plus grande partie du corps professoral et d’encadrement peut s’observer, et nombreux sont les personnels se croyant " de passage " à Saint-Hilaire, que l’on retrouve trente ans après au même poste ou à un degré supérieur.

Il est légitime que soit attribué au lycée " pas comme les autres " le nom d’un de ses créateurs. Celui de Fernand Lehec, considéré comme le " père " de l’établissement, lui est proposé ; Monsieur Lehec suggère plutôt celui de son fils Claude, décédé le 5 décembre 1968, qui a tant œuvré à ses côtés pour en faire ce qu’il est devenu. " C’est le privilège des morts que de prêter leur patronyme à une quelconque fondation " déclare-t-il. Le lycée porte le nom de Claude Lehec depuis le 7 avril 1973.

Au cours des trente cinq ans qui suivent, de nombreuses modifications interviennent :

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appellations des établissements : LTE + CET, puis LTE + LEP, puis LET + LP, puis LT+ LP (Lycées Technologique et Professionnel qu’ils sont encore en 2003).

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Qualifications préparées : Bien que diversifiées au cours des années, toutes les activités gravitent autour de la maintenance, appliquée à cinq types de support (Machines agricoles, Engins de travaux publics, Matériels de parcs et jardins, Véhicules industriels, Systèmes automatisés). Les formations couvrent aujourd’hui les niveaux V (CAP et BEP), IV (Bac Professionnel et Bac Technologique) et III (Brevet de Technicien Supérieur).

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personnels de direction : en regard de la belle stabilité de MM. Manin (proviseur 30 ans), Piochon (chef de travaux 25 ans), Lepleux (Conseiller Principal d’Education 31 ans) et Mondolfo (professeur 10 ans, puis chef de travaux 20ans), les proviseurs n’effectueront qu’un séjour limité… Au CET / LEP / LP se sont succédés R. Lacheze (2 ans), R. Canton (2 ans), G. Dauget (5 ans), L. Drouet (2 ans), P. Plantey (1 an), G. Jean (6 ans). Au LTE / LET / LT ont officié J. Rakowitz (3 ans), C. Clément (5 ans), Ch. Togna (4 ans), B. Perrier (2 ans), A. Rose (3 ans), D. Torq (3ans) et Jacky Chevrel…

Évolution des mentalités, sophistication considérable et brutale de la technicité à mettre en œuvre, dure crise dans le milieu agricole, démographie, concurrence, rien n’a pu altérer vraiment les deux lycées, en dépit de cette succession de chefs d’établissement. C’est là sans doute la meilleure preuve de la superbe cohésion, citée plus haut, de l’ensemble du personnel enseignant, et du dynamisme qu’il sait déployer. C’est ce qu’il appelle aujourd’hui " l’esprit Lehec ", qui, assez curieusement, se transmet de génération en génération !

Une volonté de toujours " coller au plus près des réalités professionnelles " caractérise cet établissement de formation. Ainsi, dans les années 80, pour faire travailler les élèves sur des matériels récents et coûteux, l’essentiel de l’enseignement repose-t-il sur la réparation réelle de machines confiées par les marchands-réparateurs.

Les années 90 voient s’amorcer une longue restructuration et modernisation des bâtiments : le service de restauration, l’internat (transformation des dortoirs en chambres de 6), les ateliers (construction d’un bâtiment de stockage de 1.000 m² permettant un remaniement complet pour une meilleure réadaptation), le gymnase, l’externat, et, à venir encore, les services administratifs. Tout cela s’accompagne de l’installation des moyens modernes de communication (réseau informatique).

En 1988, le lycée Claude Lehec a mis au point et en service une consultation d’offres d’emploi par Minitel qui fonctionne toujours aujourd’hui (2003). Le nombre d’offres consultables passe rarement au-dessous de 50 annonces, et atteint parfois 150, preuve que l’établissement a encore de beaux jours devant lui, pour peu qu’il continue à faire preuve du dynamisme hors du commun qui l’a jusqu’ici caractérisé. Le passé a démontré qu’il n’est jamais meilleur que dans les passes difficiles… (texte G. Mondolfo)

Écoles Privées

Pendant presque trente ans, sœur Marie Odile, va se consacrer au développement de l’Immaculée Conception : augmentation du nombre des élèves, ouverture en 1961 du cours complémentaire, construction du nouveau Collège d’Enseignement Général C.E.G, inauguré en 1967, réunion des deux écoles privées : Saint-Joseph et l’Immaculée afin de réaliser un seul établissement mixte d’enseignement privé lié à l’État par un contrat d’association signé en 1983. Bien que contesté par certains, cet accord favorise la gestion des écoles privées puisqu’il permet aux enseignants d’être reconnus et rétribués par l’Etat en contrepartie d’un engagement à respecter les textes en vigueur dans l’Éducation Nationale.

En 1985, à la veille de son départ en retraite, sœur Marie Odile va rassembler les fonds nécessaires au financement du complexe sportif devenu indispensable au groupe scolaire en pleine expansion qu’elle va transmettre à son successeur. Le 29 novembre 1986, l’inauguration de la salle de sports bâtie sur le terrain du Cercle Catholique marquera un nouveau tournant dans le paysage du Boulevard Gambetta.

C’est en 1985 que les religieuses quittent la direction pour laisser la place à des laïcs : Messieurs Sepieter, Renoir, Bonzom, respectivement arrivés en 1985, 1994, 2001.

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